mardi 7 juin 2011

Dissection d'enfants

Des enfants ayant été des sujets d'expériences dans les orphelinats .



M. Day a travaillé aux institutions psychiatriques. Cet homme a dû vivre et travailler dans un environnement par la menace de la camisole de force, des injections et des lobotomies.
M. Day a dû transporter les corps de quelque 67 adultes et enfants, dans des salles d'opération et d'électrochocs à la cave d'une institution de Montréal, où il les lavait, pour être vendus à des universités de la région. Selon les sources, de nombreuses institutions québécoises auraient pu elles aussi être la scène d'une telle horreur.

M. Day a confié qu'il a été le spectateur de contention, de violence physique, de séances d'électrochocs et de lobotomies ayant causé la mort. Il a vu des enfants condamnés aux travaux forcés, à prendre des doses massives de substances nocives détruisant leur cerveau et aux répercussions de chirurgies expérimentales. On lui demanda un jour de venir chercher un jeune qui était décédé dans une salle d'opération. M. Day transporta le corps jusqu'à la morgue et commença à le déshabiller.C'est alors que ce qu'il vit le fit sursauter « lorsque je lui ai enlevé son chapeau, j'ai réalisé qu'il n'avait plus de cerveau! . » Il continua quand même à nettoyer le corps. Ensuite , un autre orphelin était sans vie, et de grands trous avaient été percés dans son crâne.
Il confirme que les corps étaient transportés à l'Université McGill et l'Université de Montréal, où ils servaient à la dissection. Ces détails sur le terrible sort qu'on réservait au corps lui furent confiés par un embaumeur qui l'avertit de ne jamais en parler à qui que ce soit , s'il en parlait, il aurait de sérieux ennuis. « Et c'est pourquoi je n'ai rien dit. » dit il.

Il n'y avait aucune cérémonie religieuse lors d'un décès, et de nombreux enfants ont été ensevelis sur les terres de la porcherie. Les Orphelins étaient placés dans des boîtes de carton et ils étaient, comme il le dit , « enterrés comme des chiens » dans des fosses anonymes, les uns par-dessus les autres.


Sylvio Day s'est plaint à un psychiatre de l'hôpital au sujet de son travail à la morgue . Le médecin le menaça de répercussions terribles s'il ne retournait pas effectuer la tâche qu'on lui avait assignée. M. Day obéit, terrorisé par la perspective de devoir avaler des pilules assez fortes pour tuer un cheval et d'être confiné à une cellule opératoire secrète où il recevrait des traitements pendant toute une semaine.

Tout compte fait, Sylvio Day dit avoir vu huit Orphelins dont on avait ouvert la tête. Troublé par les découvertes qu'il faisait à Saint-Jean-de-Dieu, il décida d'approcher Camille Laurin, éminent psychiatre appelé plus tard à devenir ministre au cabinet québécois. Lorsque M. Day confia ses soupçons à Camille Laurin, le psychiatre lui administra comme punition une drogue puissante qui le rendit complètement inconscient et aussi amorphe qu'un légume. Il croit que la substance qu'on lui a administrée était de la chlorpromazine.

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